Même si ces deux sous-espèces de plantes en proviennent d’une seule, le cannabis, les Sativa et les Indica ont toutes deux des propriétés et des caractéristiques qui leur sont propres. Cela concerne entre autres leur zone géographique et leur origine historique. Mais également leur apparence (même si à ce jour l’hybridation de ces deux variétés est plus cultivée). Le débat, “Sativa vs Indica” est ainsi ouvert.
Et ce n’est pas tout. On retrouve aussi des différences dans leur composition génétique, leurs effets et enfin sur leur goût et odeurs, que l’on retrouvent dans les fleurs de CBD. Pour comprendre quelle variété est plus adaptée à la condition physique et psychique de chaque consommateur, voici les différences qui ont pu être constatées. Notamment par les botanistes.
Les origines historiques de la Sativa VS Indica
L’origine du cannabis remonte à 5 000 ans avant notre ère. Il était d’abord cultivé dans l’Himalaya, puis s’est répandu dans les pays du Moyen-Orient, qui avait déjà leur propre plante, le haschisch.
Trois branches différentes
La Sativa et l’Indica sont deux sous-espèces de cannabis. L’Indica, aussi appelé « chanvre indien » est la plus choisie par les cultivateurs, car elle est plus abondante que la Sativa. Ses propriétés ont eu une très forte influence au cours de l’histoire, même encore aujourd’hui. Cela est notamment dû en partie à ses têtes qui sont très denses.
L’autre génétique du cannabis est donc la Sativa, qui est aussi appelée « chanvre cultivé ». C’est l’une des plus anciennes plantes qui est cultivée pour le cannabis. Son exploitation s’est faite dans de nombreux pays. En France, il est possible de cultiver ce genre de plants selon la norme européenne qui exige 0,2 % de taux de THC. De plus, cette plante, riche en CBD, est consommée pour le bien-être et la santé de leur consommateur.
Par ailleurs, la plante Cannabis possède une autre génétique, aussi bien différentes de ses consœurs la Sativa et l’Indica : la Ruderalis. Cette dernière est cependant mise de côté car elle n’a aucune propriété phytothérapique. Elle ne contient pratiquement pas de cannabinoïdes. Ainsi elle n’est employée qu’uniquement pour des usages industriels ou pour réaliser des croisements entre les variétés.
Des origines variées
Revenons-en à la plante Indica. Elle a d’abord été cultivée en altitude dans le Nord de l’Asie Centrale. Notamment au Pakistan ou en Afghanistan. Puis elle a été importée dans d’autres régions du monde. Des régions plus chaudes et humides. Les plantations se sont donc acclimatées à leur nouvel environnement, modifiant ainsi leur génétique.
La Sativa est exploitée dans les zones intertropicales comme la Jamaïque, le Congo ou la Thaïlande, tandis que l’Indica est cultivée dans des régions plus ou moins arides et en Asie centrale. C’est pour cette raison que ces dernières sont trapues et denses. Cela leur permet de conserver un minimum de chaleur.
Physiquement, les Sativa sont quant à elles plus hautes et aérées afin de faire passer l’air. Diminuant ainsi l’humidité. Cela a par conséquence de limiter les risques de moisissures.
De nos jours, il est très rare de retrouver des plants 100 % Sativa ou Indica. Les années ont fait que les sous-espèces se sont mélangées entre elles, formant ainsi une forme hybride. Ce processus permet à la fois de combiner les plantes et de mesurer les propriétés de chacune selon leur taux de CBD. Néanmoins, les fleurs de CBD ont une prédominance Sativa ou Indica. Celle-ci va par la suite orienter les choix selon l’usage attendu par le consommateur.
Sativa VS Indica : une différence géographique
Des hypothèses ont été soumises par des scientifiques sur l’origine géographique de la plante de cannabis. Depuis longtemps, cette plante était associée à l’Asie centrale, mais de nouvelles études ont donné une perspective différente.
Un périple de plusieurs milliers d’années
Ces chercheurs ont étudié du pollen fossile, plus particulièrement le Cannabaceae. Ce dernier a été découvert dans les années 1930. D’après les preuves exploitées, les résultats amènent à montrer quelle est l’origine géographique la plus probable du cannabis. Celle-ci n’étant qu’une supposition.
La plante se situerait sur le plateau tibétain, au Nord-Est et proviendrait de l’Artémisia, datant d’il y a 28 millions d’années ! Le cannabis s’est ensuite répandu en Russie et en Europe il y a 6 millions d’années environ. Il atteindra la Chine seulement 1,2 millions d’années avant notre ère. Cette dissémination a permis à la plante d’être facilement cultivée par les hommes dans toute l’Eurasie et utilisée pour ses propriétés bienfaitrices.
À chacune ses préférences
Alors que la Sativa pousse généralement vers l’équateur, notamment en Colombie, en Thaïlande ainsi qu’au Mexique et dans de nombreux pays africains, l’Indica se trouve plus en altitude. Elle est aussi exploitée dans des pays plus connus pour leur production de haschisch (le Maroc, la Turquie, le Népal, l’Afghanistan).
Les premiers plants d’Indica ont été retrouvés dans les montagnes de l’Hindou Kouch, entre l’Afghanistan et le Pakistan et se situent aussi en Inde ou au Tibet. Le climat idéal pour la culture de l’Indica est entre 30 à 50 degrés de latitude environ au Nord et au Sud de l’équateur. Elles se sont adaptées à des températures fraîches, avec des étés parfois courts et des hivers vigoureux. Elle a pu développer un corps plus résistant par rapport à la Sativa.
Cette dernière apprécie les latitudes de moins de 30 degrés. Elles poussent donc très facilement et de façon exponentielle dans des régions chaudes, mais également humides. Grâce à sa tête aérée, elle laisse passer l’air sans difficulté tout en évitant diverses maladies. Ces caractéristiques vont donner à chacune une floraison différente. La Sativa va fleurir plus longtemps que l’Indica. Il faut compter environ 18 semaines de floraison pour la Sativa contre 10 semaines grand maximum seulement pour l’Indica. Cependant, cette dernière va fleurir plus rapidement et plus abondamment que la Sativa, car elle a des pieds plus petits et un aspect plus massif.
La zone géographique de chaque plant va donc jouer un rôle primordial dans leurs caractéristiques propres. En effet, certains experts affirment que le climat expliquerait les effets physiques et psychiques liés à chacune d’elles.
Sativa VS Indica : une différence esthétique
C’est en partie à cause de la récente hybridation des deux plantes que la Sativa et l’Indica deviennent plus difficiles à distinguer. Toutefois, nous sommes d’accord, il existe encore aujourd’hui quelques éléments et caractéristiques visibles pour l’une ou pour l’autre.
Généralement, seuls des experts en culture de cannabis pourront reconnaître en quelques coups d’œil une plantation de Sativa ou d’Indica.
Néanmoins, nous l’évoquions, lorsque la plante pousse naturellement en extérieur (dans son habitat naturel) il est possible de percevoir des caractéristiques physiques distinctes.
L’aspect général
Dans son aspect global, la Sativa est généralement très grande. Son pied peut atteindre, au maximum, quatre mètres de haut. De plus, en s’adaptant à sa zone géographique, son aspect est devenu très fin et léger. Pour rappel, cela est simplement dû au fait que la plante pousse dans des endroits chauds et humides.
Pour l’Indica, c’est tout le contraire. Les plants de cette sous-espèce possèdent une apparence plus buissonneuse et courte toujours à cause du climat. Elles n’atteindront pas plus de deux mètres de haut et sont donc idéales pour une culture assez courte, le temps d’un été par exemple.
En ce qui concerne les feuilles, celles des Indica ont une couleur vert foncé, car elle fabrique plus de chlorophylle comparée à sa consœur la Sativa. De plus, elles sont plus touffues et courtes. Pour le cas de la Sativa, les feuilles seront ici longues et fines. Certains disent qu’elles ressemblent à des doigts avec au bout des ongles pointus. C’est cette particularité physique qui lui permet de mieux faire pénétrer la lumière du soleil. Par ailleurs, en matière de couleur, vous percevrez la plupart du temps une couleur vert clair.
Penchons-nous sur les fleurs
Enfin, au sujet de leurs fleurs. Commençons par les fleurs des Sativa. Elles s’ouvrent entre les nœuds de chaque branche, ce qui lui donne l’apparence d’une grappe clairsemée et longue. Pour cette raison, la plante doit être cultivée idéalement en extérieur. Elle demande un besoin en espace très important, et ce, principalement en hauteur. C’est dans ces conditions qu’elles peuvent faire bénéficier des meilleurs avantages à l’égard des effets.
Pour l’Indica, les fleurs sont plus denses et épaisses. La culture en intérieur se fera alors beaucoup plus facilement étant donné son allure trapue. Également, elles réussissent à s’adapter aux espaces verticaux et limités.
Certaines hybridations mélangent les plantes Indica ou Sativa avec la Ruderalis afin d’assurer une « autofloraison ». Cette plante hybride reste très petite, mais le rendement peut être très élevé.
Les différences au niveau de leur apparence que nous évoquons, restent bien entendu moins visibles lorsque la plante est jeune. C’est seulement lorsqu’elles grandissent et prennent en maturité qu’il devient plus simple de les différencier.
Ainsi, lorsque la différenciation n’est pas possible. Il suffit d’attendre une à deux semaines pour la constater. Chose amusante, il arrive parfois que la plante Sativa puisse se « déguiser » en Indica, et vice-versa. Rendant dans ces cas-là les éléments de différenciation bien plus complexes à observer. Cette impossibilité de caractérisation vient tout simplement du fait que les plantes ont souvent été croisées dans le passé.
Indica VS Sativa : une différence de goût et d’odeur
Certaines personnes ont un palais tellement fin qu’ils arriveraient à reconnaître au goût si la plante est une Sativa ou une Indica.
Pour ceux qui n’ont pas cette chance on va vous donner quelques conseils. Comme avec un vin, du chocolat ou tout autres aliments, la provenance peut faire varier les arômes et saveurs.
Du côté des goûts
Tout d’abord, dans un cas comme de l’autre, on retrouvera un goût plutôt fruité.
Cependant, la Sativa aura une saveur plus légère et florale que l’Indica. C’est en partie grâce à son emplacement géographique au plus proche de l’équateur. L’une des variétés de Sativa les plus savoureuses et odorantes est la « Silver Haze ».
Dans le cas de l’Indica, un goût plus boisé se fera ressentir. Pour de nombreux consommateurs, la plante Indica « Critical Kush » est considérée comme la plus intéressante en matière de goût.
Les deux plantes que nous venons de citer sont d’ailleurs « féminisées » et ont généralement des têtes beaucoup plus fournies.
Tout comme le goût et l’odeur, la sensation en bouche lors de la consommation va différer selon les usagers. Certains estimeront que le goût est léger, d’autres plus gourmand, parfois piquant, un goût de terre, d’arbre, ou encore d’ammoniaque.
De plus, selon la composition et les variétés de Sativa et d’Indica, la saveur va changer. Mais en règle générale, pour les amateurs de ces plants à travers le monde, il n’y a pas de grandes différences à constater au niveau du goût entre une Sativa et une Indica.
Et pour les arômes
Les molécules responsables de l’odeur si caractéristique de la plante Cannabis sont provoquées par les terpènes. Ce sont des hydrocarbures aromatiques qui sont plus ou moins présents selon la variété des plants. D’autres molécules, appelées terpénoïdes, sont quant à elles un dérivé produit par l’oxydation des terpènes.
Par ailleurs, les plantes de cannabis possèdent des trichomes sur ses têtes et ses feuilles, que l’on peut comparer à des glandes ressemblant à de petits cristaux. Ce sont eux qui produisent les terpènes responsables de l’odeur forte de la plante. Ils se développent et apparaissent au cours de sa croissance.
En plus de tout ce que l’on vient d’évoquer, la présence de « striae » au bout de ces trichomes va accentuer encore plus son exhalaison.
Résultat, l’Indica a la faculté d’avoir une odeur beaucoup plus présente que la Sativa. En effet, cette sous-espèce de cannabis possède environ 16 % de terpènes en plus par rapport à la Sativa. Cependant, en règle générale, ces composants sont plutôt volatils. Cette volatilité explique la forte odeur de chacune d’entre elles, qu’il est possible de sentir même à température ambiante.
Sativa VS Indica : une différence dans la génétique
Selon les botanistes, le cannabis est une espèce polymorphique. C’est-à-dire qu’il peut y avoir à l’intérieur d’une même espèce des variations génétiques.
À ça s’ajoute la capacité du cannabis à s’adapter à différents environnements. Mais ce n’est pas tout, en plus de cela, avec l’évolution de chaque plante au travers des années, leurs qualités se sont modifiées de manière significative.
Les pistes explorées par les scientifiques
En règle générale, la structure génétique du cannabis est assez complexe. En effet, la molécule de CBD correspond à un seul composé parmi cent autres, formant un groupe appelé « phytocannabinoïde ». Le THC en fait lui aussi partie, mais la molécule qui nous intéresse le plus ici reste le CBD de son nom complet, Cannabidiol.
Dans la communauté scientifiques, il y en a certains qui estiment que ces molécules permettraient de garder les prédateurs et les agents pathogènes à distance. C’est en quelque sorte un bouclier naturel pour la plante.
Mais le débat reste encore ouvert. Ainsi, d’autres indiquent que cela protègerait les plants des rayons du soleil, pouvant devenir nocifs pour elle.
En somme, la génétique des Sativa et des Indica agit de manière défensive face aux diverses agressions extérieures de la plante. C’est sa capacité adaptative face à l’environnement qui favorise sa survie dans ses milieux naturels.
Des dires qui font débats
Toutefois, comme sur de nombreux sujets, les chercheurs ne sont pas tous d’accord. Un autre groupe n’acceptent pas ces nuances de génétique entre les Indica et les Sativa. Pour eux, cette catégorisation est une pure invention. Ils affirment que les vrais responsables des différences entre ces deux plantes proviendraient des terpénoïdes du cannabis. Ces composés incluent des milliers de molécules différentes, et seraient donc notamment les auteurs de l’effet analgésique de l’Indica, ainsi que de l’émanation qui s’en dégage.
Ces terpénoïdes auraient été développés dans telle ou telle variété de plante en fonction également des conditions géographiques dans lesquelles elle poussait à l’origine.
En plus du CBD, les plantes Indica et Sativa possèdent environ soixante-dix autres cannabinoïdes dans leur composition et pas moins d’une centaine de terpènes différents présents. Ce qui rend la plante de cannabis très sophistiquée dans sa génétique et explique ses différences notables en matière de goût, d’arôme, voire d’effets.
La Sativa possède plus particulièrement de nombreux types de terpènes appelés le « profil terpénique ». Alors que l’Indica va avoir une prédominance pour le terpène « mycrène », qui est considéré comme le responsable de l’effet « stone » de la plante.
Par ailleurs, il est important de noter que l’Indica possède une diversité génétique plus importante que la Sativa. En règle générale, toutes les sous-espèces de cannabis proviennent avant tout de cette variété de plante, l’hybridation va permettre de structurer le taux de Cannabidiol, afin de donner des goûts et des odeurs différentes pour chacune.
Sativa VS Indica : une différence dans les effets
Ces différences d’effets sur le corps s’expliquent par leur composition et leur génétique. C’est le taux de CBD plus ou moins élevé dans chacune des deux plantes qui va faire évoluer les effets ressentis par les consommateurs.
Quels seraient les effets positifs ?
Le Cannabidiol n’est pas psychoactif contrairement au THC, et il possèderait des effets relaxants, que les consommateurs apprécient tout particulièrement.
En plus d’être détendu, la Sativa et l’Indica utilisaient pour les produits à base de CBD seraient idéales pour aider à lutter contre la dépression, l’anorexie, l’anxiété ou même certaines formes de cancer. Avec elles, il serait aussi possible d’atténuer les spasmes, les insomnies, la nausée, les douleurs chroniques.
En France quelle que soit la variété, Indica ou Sativa, c’est le taux de THC présent qui décidera de son éventuel commercialisation. La législation européenne impose un taux de 0,2 % dans la production des plantes de cannabis.
Avec les Indica
Leur utilisation est généralement faite pour aider les personnes stresser ou simplement à la recherche d’un sentiment de relâchement. Elles produisent ce qu’on appelle un « stone » corporel, permettant de passer une soirée au calme seul, entre amis ou en couple.
En ce qui concerne leurs différences. L’Indica serait plutôt recommandée pour aider à soulager les spasmes musculaires et les tremblements, notamment dans le cas de la maladie de Parkinson, ou encore les rhumatismes et les insomnies.
Avec les Sativa
Quant à la Sativa, cette dernière a des propriétés différentes selon son taux de Cannabidiol, mais détiendra des effets tout aussi intéressants. C’est une plante « high » cérébrale, qui aurait des effets stimulants et énergisants. Elle favoriserait donc les activités cérébrales, notamment la créativité et la sociabilité. Par conséquent, au vu de ses eventuels effets il serait préférable de la consommer en journée ou lors d’une soirée festive.
Elle pourrait aussi être utilisée pour les personnes qui ont des troubles de l’attention, de l’hyperactivité ou au contraire une fatigue constante. Par ailleurs, elle pourrait être très efficace contre la dépression. En donnant notamment une certaine tonicité de façon presque instantanée. La Sativa va aussi atténuer, voire faire disparaitre les personnes sujettes aux nausées quotidiennes, ainsi que celles soumises à une chimiothérapie pour leur stimuler l’appétit.
En somme, la Sativa agit sur l’esprit pendant que l’Indica agit sur le corps. Grâce à l’hybridation des deux plantes, l’Indica comme la Sativa pourront être composées de divers ratios de concentration en Cannabidiol, afin de modifier leurs compositions, notamment sur les terpènes.
Ainsi, grâce au mélange des deux sous-espèces, il est possible qu’une Indica prenne les effets bénéfiques de la Sativa et inversement.
De possible effets secondaires
Il est toutefois à prendre en considération les possibles effets indésirables de ces deux variétés de cannabis. Outre la bouche sèche, des étourdissements, la diarrhée ou encore de la nausée, le CBD plus présent dans l’Indica peut faire baisser la pression artérielle, étant donné ses propriétés « stone ».De plus, le Cannabidiol peut aussi entrainer des effets contraires sur le consommateur dans le cadre d’une importante prise comme des troubles du sommeil et des migraines.
Bien sûr, ces effets dépendront de plusieurs facteurs. Notamment de la qualité des produits, c’est notamment la raison pour laquelle nous choisissons méticuleusement les nôtres, mais aussi du mode et de la fréquence de consommation. Rendre également en ligne de compte les caractéristiques physiques de chacun.
Pour conclure, il est donc possible d’expliquer de telles différences et les débats “Sativa vs Indica” par leurs nombreuses caractéristiques distinctes, à la fois génétiques et anatomiques.
Toutefois, les propriétés de chacune se complètent et peuvent se relier entre elles. Ces plantes ont pu s’adapter à leur environnement, en modifiant leurs propriétés d’origine. Même si aujourd’hui l’hybridation est de mise, elle ne fait qu’accentuer les effets bénéfiques sur le corps et l’esprit des consommateurs. Et bien sûr… La culture de ces sous-espèces de cannabis n’a pas fini de surprendre les botanistes et les cultivateurs.