Souvent confondus, le CBD et THC font l’objet de toutes les attentions face à l’émergence de nombreux compléments alimentaires, cosmétiques ou e-liquides, vantant les mérites du cannabidiol.
Les molécules sont-elles légales ? Leurs consommations sont-elles dangereuses pour la santé ? Le CBD prodigue-t-il des vertus miracles ? L’opinion s’interroge sur la légalité et les effets de ces nouveaux produits soulevant les controverses. Afin de clarifier la polémique, retrouvez les 7 caractéristiques qui distinguent le CBD du THC.
1. Le CBD et le THC sont issus du chanvre
Le CBD, comme le THC, sont des molécules que l’on retrouve dans la plante de chanvre. Même si leur appartenance organique est la même, il n’en reste pas moins que leurs caractéristiques divergent. Le CBD présenterait des vertus bénéfiques sur l’organisme, alors que le THC possède les propriétés du psychotrope.
CBD et THC, deux substances chimiques de la plante de chanvre
Extraites du chanvre, le CBD et le THC sont des cannabinoïdes. Seulement, leurs effets sur la santé en font des principes actifs aux propriétés opposées.
Les cannabinoïdes constituent un ensemble de molécules chimiques. À leurs contacts, les récepteurs de cannabis présents dans le corps humain sont sollicités.
Un fonctionnement qui s’opère de la même façon chez l’ensemble des mammifères.
Les récepteurs constituent le système endocannabinoïde. Deux types de récepteurs ont été identifiés : CB1 et CB2.
Les molécules de THC viennent se fixer aux récepteurs CB1 situés dans le cerveau et au niveau du système nerveux central.
Les molécules de CBD agissent sur les récepteurs CB2. Autrement dit, ceux basés dans le système immunitaire et les organes.
C’est le chimiste organique américain, Roger Adams, qui a découvert les cannabinoïdes en 1940.
Au total, on dénombre 111 cannabinoïdes dans le chanvre, incluant le CBD et le THC.
L’action du CBD et du THC dans l’organisme
Le THC présente des caractéristiques euphorisantes sur l’organisme. Altérant le psychisme, la consommation du THC est illégale dans de nombreux pays.
À l’inverse, le CBD ne possède aucun effet hallucinogène ou addictif. D’ailleurs, la législation française autorise son usage dans un cadre réglementé.
Les principes actifs du CBD et du THC agissent différemment. Ils se fixent aux récepteurs neuronaux et génèrent chacun des bienfaits ou non qui leur sont propres.
Pour le THC, son action délivre une sensation hautement euphorisante. Celle-ci va venir altérer les capacités cognitives du consommateur. Les molécules de THC, comme tous psychotropes, se fixent au système nerveux central. C’est ce mécanisme qui provoque différents effets dans le cerveau des consommateurs.
Le CBD, ou cannabidiol, est aujourd’hui source de nombreuses études scientifiques, pour l’analyse de ses potentiels bienfaits thérapeutiques. En stimulant un ensemble de récepteurs cellulaires et neurotransmetteurs, le CBD agirait comme un stabilisateur physiologique et un régulateur du métabolisme du corps humain.
En sollicitant le récepteur 5-HT1A, la production de sérotonine, appelée communément hormone du bonheur, serait ainsi fortement stimulée.
2. Le CBD et le THC, une consommation légale ou illégale ?
Longtemps associées, les molécules du CBD et du THC ont été interdites à la consommation dans de nombreux pays. Suite à la reconnaissance du CBD comme molécule non-toxique par l’OMS, Organisation Mondiale de la Santé, la réglementation européenne s’est assouplie, afin d’autoriser l’utilisation du cannabidiol sous certaines conditions.
État des lieux de l’usage du CBD et du THC en France
En France, la législation a opéré une distinction entre le CBD et le THC. Le cannabidiol est autorisé dans un cadre strict et contrôlé.
En étant reconnu comme n’étant pas un psychotrope, le CBD peut être commercialisé sur le marché français. Seulement la législation tend à freiner une industrialisation massive du chanvre, pouvant dégénérer sur une production non contrôlée de plantations et de commercialisation de THC. C’est en partie l’une des raisons qui expliquent les réactions parfois ambiguës de la part de l’État.
Le seuil de 0,2% de THC ne doit pas être dépassé par les marques utilisant du cannabis dans leurs formulations.
Le CBD utilisé dans la composition des produits commercialisés doit impérativement être issu des graines et des fibres du chanvre. L’utilisation des feuilles ou des fleurs de chanvre restent interdites sur le sol français, car elles contiendraient une trop forte concentration en THC.
En 2019, le Premier ministre d’alors, Edouard Philippe, fait une allocution qui relance le débat. Le gouvernement se questionne sur la légalisation du cannabis. Pour contrer un trafic illicite, les autorités se questionnent pour reprendre la main et pouvoir ainsi mieux contrôler la consommation de cannabis. Une distinction est également faite entre un cannabis récréatif et thérapeutique.
Un parti-pris d’autant plus d’actualité que certains pays européens ont déjà sauté le pas.
Tour d’horizon de l’usage du CBD et du THC en Europe
En Europe, des disparités s’opèrent entre l’usage d’un cannabis récréatif ou thérapeutique. Certains pays européens n’ont d’ailleurs pas encore clairement statué sur la réglementation encadrant le cannabis.
Les Pays-Bas ont depuis longtemps toléré la consommation du cannabis à la fois récréatif mais aussi dans le cadre de traitements médicaux.
Seulement la consommation de cannabis, classifié comme une drogue douce, reste contrôlée. La législation néerlandaise repose sur la loi de 1928 relative à l’usage de l’opium, qui définit une consommation des drogues uniquement dans des lieux réservés que sont les coffeeshops.
Cependant, la consommation de cannabis dans les endroits publics ou la revente de cannabis autrement que via des coffeeshops restent prohibées. D’ailleurs, les coffeeshops ne doivent pas dépasser la dose de 5g par jour et par personne.
Nos pays voisins : Suisse, Allemagne, Espagne, Luxembourg, Royaume-Uni, Pays-Bas, Slovénie, Norvège, Finlande et Pologne, ont fait le choix d’autoriser l’utilisation du CBD et de THC dans le cadre de traitements thérapeutiques.
3. Les bienfaits naturels du CBD sur la santé
Autorisée et réglementée, l’utilisation de CBD se multiplie dans les secteurs de la beauté et du bien-être. Connu depuis des millénaires, le chanvre s’utilisait dans les campagnes pour soigner certains maux, aussi bien pour l’homme que les animaux.
Le CBD pour ses bienfaits apaisants
N’étant pas considérés comme des médicaments, la consommation de CBD en compléments alimentaires est possible. En gélules ou en huiles, le CBD revêt des vertus considérées comme apaisantes pour l’organisme.
Son action calmante aurait été démontrée par des chercheurs de l’American College of Neuropsychopharmacology. Les personnes analysées ont constaté une diminution du stress avant la prise de parole en public après avoir consommé du CBD.
Le principe actif du cannabidiol agirait ainsi contre les angoisses et les situations à haut niveau de stress. D’ailleurs, à l’université de Cantabria, des chercheurs en biomédecine ont basé leur étude sur l’action du cannabidiol comme antidépresseur.
Les découvertes scientifiques autour des effets du CBD dans l’organisme ont mis en lumière de nouvelles perspectives pour l’usage du cannabidiol comme compléments alimentaires, dans les cosmétiques ou encore comme alternative aux traitements conventionnels.
En traitement thérapeutique, la communauté médicale pourrait voir l’utilisation du CBD comme bénéfique afin de traiter la nausée, les insomnies et autres effets secondaires douloureux, pour les patients souffrant de sclérose en plaques, de cancers ou étant en soins palliatifs.
Le CBD comme anti-inflammatoire
Par ses vertus apaisantes, une fois ingéré le CBD produirait un relâchement musculaire qui apaiserait les douleurs liées à des spasmes ou des tensions articulaires.
Les inflammations et les douleurs associées seraient ainsi fortement diminuées. Le CBD permettrait de dégonfler des articulations ou des muscles tendus et douloureux.
Les maux du quotidien pourraient ainsi trouver dans le CBD une solution pour traiter les nausées passagères, les maux de tête ou encore des situations de stress.
Les bénéfices du CBD pour la peau
Si les marques de cosmétiques s’emparent de la molécule de CBD dans leurs formulations ce n’est pas sans raison.
Par son action anti-inflammatoire, le CBD a la réputation d’agir sur les peaux sensibles et sujettes à l’eczéma ou au psoriasis. Une solution apaisante et régénératrice pour les épidermes fragilisés.
4. Les effets addictifs et psychotropes du THC
À l’inverse du THC, la consommation de CBD en huiles, gélules ou e-liquide n’entraîne pas de dépistage positif au cannabis lors de contrôles. Ceux-ci détectent uniquement la présence de substances psychotropes, soit de THC. La distinction est nette entre les effets sur le psychisme du THC, contrairement au CBD.
THC, une action néfaste sur le cerveau
L’université de Dallas a pointé les effets certains du THC sur les neurones et la santé du cerveau.
En comparant des consommateurs de THC à ceux de non-consommateurs, les chercheurs ont pu constater que le volume de neurones, soit de matière grise, a diminué chez les utilisateurs de THC. La connexion entre les neurones a également été modifiée.
Il se pourrait que les neurones se retrouvent dans un premier temps renforcés, puis finiraient par s’atrophier au fil des années pour un consommateur régulier.
La diminution de matière grise se situe principalement dans une zone du cerveau propre à la prise de décision.
Une altération psychique avec le THC
De nombreuses études ont démontré que le THC pourrait déclencher des maladies mentales invalidantes. Il y aurait notamment des maladies telles que la schizophrénie, pour les consommateurs réguliers. Ces derniers seraient 15 fois plus des sujets à risque aux maladies mentales que la moyenne.
À l’inverse du CBD, ou cannabidiol, le THC agit sur la perception et perturbe la pensée. Le THC génèrerait ainsi une psychose, parfois à l’origine d’hallucinations lors d’une dose trop importante.
Le principe actif du THC, en agissant sur la perception, peut également provoquer des vertiges, ainsi qu’une augmentation du rythme cardiaque avec un battement qui serait 2 fois plus élevé que la normale.
Avis aux hommes, une étude scientifique en 2003 a révélé une action nuisible sur la quantité de spermatozoïdes des consommateurs réguliers.
5. Le CBD et le THC en traitements thérapeutiques
Repris dans de nombreux compléments alimentaires et cosmétiques, le CBD suscite également l’intérêt de la communauté médicale dans le cadre de traitements thérapeutiques.
La France et le cannabis thérapeutique
La position de la France sur l’usage de médicaments à base de CBD ou de THC connaît tout de même des exceptions.
L’ANSM, Agence nationale de sécurité des médicaments, a délivré une autorisation de mise sur le marché pour des traitements à base de THC.
La prescription de ce type de médicaments est scrupuleusement encadrée. Seuls des médecins accrédités par l’ANSM peuvent délivrer ces médicaments, selon une liste de pathologies définie par ce même organisme. Un protocole stricte, pour des patients dont les maladies graves ne trouvent plus de solutions dans les traitements conventionnels.
Les deux médicaments autorisés sur le sol français sont le Marinol et le Sativex. Sous forme de capsules, le Marinol est un anti-inflammatoire formulé à base d’huile de THC de synthèse. Il peut être prescrit notamment pour les patients atteints de maladies chroniques et graves, comme en soins palliatifs.
Le Sativex a obtenu l’accord de commercialisation, seulement son usage n’est pas encore effectif dû à la difficulté de sa prise en charge par l’assurance-maladie. Le Sativex est formulé à partir de molécules de CBD et de THC. Sous forme de spray buccal, il doit être prescrit pour les personnes atteintes de scléroses en plaques et pour qui les alternatives conventionnelles ne font plus effet ou sont mal supportées.
6. L’extraction du CBD pour les compléments alimentaires et les cosmétiques
Avec une réglementation française et même européenne stricte sur l’utilisation du CBD dans les compléments alimentaires, e-liquides ou cosmétiques, l’extraction adéquate du CBD est garante de la qualité du produit fini.
L’extraction de CBD dans l’industrie
Deux principaux procédés d’extraction de CBD coexistent dans l’industrie, en vue de la commercialisation de produits cosmétiques ou alimentaires.
Il s’agit de l’extraction par isolat et de l’extraction par full spectrum. La préservation des qualités des principes actifs qui en sont issues, constitue la distinction majeure de ces deux processus.
L’extraction par isolat se révèle être un processus moins coûteux. Seulement la conservation des bienfaits médicinaux serait également moins assurée que par full spectrum.
Dans un premier temps, les molécules de CBD obtenues sont purifiées. Cependant, la synergie des composés naturels de la plante de chanvre n’est pas assurée, contrairement au full spectrum. Cette synergie appelée effet d’entourage favoriserait une plus grande efficacité aux produits.
Avec le full spectrum, ou à spectre complet, les molécules de cannabidiol sont dépourvues de tous résidus. Ce procédé industriel utilise le CO2. À l’inverse de solvants chimiques qui seraient dangereux pour la santé. D’ailleurs, le full spectrum révélerait des effets secondaires moindres qu’avec des produits utilisant l’extraction par isolat.
L’obtention du THC depuis la plante de chanvre
L’extraction du THC s’opère principalement depuis les fleurs de chanvre. Le procédé utilisé consiste à séparer les cristaux, ou trichomes, qui collent les têtes des fleurs de cannabis.
L’extrait de cannabis peut s’obtenir par tamis, autrement dit, par l’obtention de THC sous forme de poudre après séparation des trichomes des têtes de fleurs de cannabis séchées. La séparation peut aussi être obtenue par friction ou avec l’utilisation d’eau glacée.
7. Les différentes formes de consommation du CBD et du THC
Désormais démocratisé par de nombreuses marques et enseignes, le CBD se retrouve sous plusieurs formes de consommation : compléments alimentaires, cosmétiques, e-liquide, fleurs de CBD… Prohibée en France, nous allons principalement nous attarder sur l’utilisation du THC dans les pays l’autorisant. De leur côté elle se consomme essentiellement par inhalation.
Les compléments alimentaires à base de CBD
En gélule ou en huile, le CBD peut s’utiliser en complément alimentaire de façon quotidienne. Un usage de 3 fois par jour est généralement recommandé pour une action sur la durée.
Afin de maximiser leurs effets, il est conseillé de ne pas manger, boire ou fumer dans les 5 minutes qui précédent la consommation des compléments alimentaires.
L’huile de CBD
En huile, le CBD agit rapidement. Il est principalement absorbé par voie sublinguale. Quelques gouttes doivent être déposées sous la langue. Sa diffusion dans le flux sanguin via les muqueuses est ainsi plus rapide.
Avant d’avaler les gouttes de CBD, le produit doit agir environ 2 minutes. Puis l’utilisateur peut avaler le restant du produit.
Les effets du CBD sont perceptibles après 5 à 20 minutes, pour une durée de 2 à 3 heures, selon le dosage et l’habitude de consommation.
Si le goût n’est pas apprécié par l’utilisateur, l’huile peut également être ajoutée dans des préparations alimentaires.
Les gélules de CBD
En gélules, le CBD agit moins rapidement mais plus durablement. Il faudra attendre la digestion pour ressentir ses effets.
Dans les deux cas, le foie filtre le cannabidiol. Environ 15% à 20% des principes actifs se diffusent dans l’organisme.
Globalement, le dosage recommandé journalier de CBD est de 160 mg par jour. Seulement, les compléments alimentaires sur le marché ont déployé des produits avec des taux nettement inférieurs. Gélules ou huiles à base de CBD proposent une concentration de l’ordre de 2,5% à 40%. Soit, pour une absorption quotidienne de 3 à 4 gouttes par prise de CBD à 10%, par exemple, renouvelé matin, midi et soir, le taux journalier atteint 55 mg par jour. On se retrouve bien en deçà du seuil de 160 mg par jour.
Évidemment, le dosage s’appuie sur plusieurs paramètres. Selon la morphologie, les habitudes de consommation et les antécédents médicaux, le dosage peut différer fortement d’un individu à l’autre.
Afin d’évaluer une base de consommation, il faut compter environ 1 mg à 6 mg de CBD tous les 5 kg. Soit une consommation de 20 mg à 33 mg de CBD pour une personne de 90 kg.
Seulement cet indicateur ne prend pas en compte une utilisation régulière ou des antécédents médicaux qui induirait une réévaluation de ce paramètre. Le résultat souhaité peut être différent pour des individus pesant le même poids.
En général, mieux vaut commencer par un dosage faible, puis augmenter progressivement si les résultats attendus n’ont pas fait effet.
Si, au contraire, des réactions indésirables surviennent. Il est alors conseillé d’arrêter l’utilisation du CBD pour se tourner vers un dosage ou des produits moins concentrés en CBD.
Les formats e-liquides du CBD
L’utilisation de CBD en e-liquide est extrêmement contrôlée et réglementée en Europe. Une vigilance qui a permis d’éviter les cas graves et mortels survenus aux Etats-Unis, suite à l’inhalation en vapotage d’huile de CBD. Une fois déposée sur les poumons, cette huile a déclenché des problèmes respiratoires majeurs, impossible à traiter pour le corps médical.
En Europe, l’utilisation d’huile de CBD est interdite dans les cigarettes électroniques. Seuls sont autorisés, les e-liquides dédiés aux cigarettes électroniques. Ils s’obtiennent dans des commerces spécialisés à l’image de nos boutiques ou de notre site e-commerce.
Les normes européennes dans la formulation des e-liquides autorisent uniquement l’utilisation de : Propylène Glycol (PG), de glycérine végétale (VG), d’arômes et de CBD.
Il a été avéré par des études scientifiques, que le propylène glycol et la glycérine végétale favorisent une adéquation parfaitement adaptée à l’inhalation par cigarettes électroniques.
Le CBD contenu dans les formats e-liquide sont généralement des cristaux de CBD purs. Impuretés et THC ont été éliminés lors de l’extraction des molécules de CBD depuis la plante de chanvre.
Par ses bienfaits apaisants et non addictifs, l’utilisation de CBD en vapotage aura pour principal avantage de favoriser le sevrage au tabagisme.
L’inhalation renforcerait également une absorption plus rapide du CBD dans l’organisme. En effet, le passage par les voies respiratoires permet à la molécule de passer bien plus rapidement dans le réseau sanguin.
Les cosmétiques au CBD
Sélectionné pour ses vertus apaisantes, le CBD ou cannabidiol fait une entrée remarquée en cosmétiques. Crèmes de jour, savons saponifiés à froid ou huiles raffermissantes contiennent désormais du CBD pour apaiser les démangeaisons et problèmes de peau.
L’épiderme serait ainsi régénéré et renforcé sous l’action des principes actifs du CBD.
En application cutanée, on retrouve également des crèmes pour calmer les inflammations. Combinés au massage, les muscles ainsi que les articulations seraient soulagés et détendus.
La consommation de THC
De manière légale ou illégale selon la réglementation des pays, le THC se consomme principalement depuis les feuilles séchées de chanvre. Sous forme de résine de cannabis, le THC est en première intention fumé par les consommateurs.
D’autres types de consommation sont également possibles, tout en restant prohibé en France.